mercredi 8 mai 2013

B rue de Belleville



B

Rue de Belleville
du temps jadis  au temps  présent,

Bien que débordant des limites de notre quartier tel qu'il apparait sur le plan, nous vous invitons cependant à une promenade de la rue de bas en haut
se conjuguant au passé et au présent.
Entre les métros Belleville et Télégraphe.
Nous vous proposons une sélection de lieux historiques ou insolites, détails pittoresques, ou présences de nouvelles activités, ressources et richesses,  que nous aimons bien et que nous souhaitons vous faire partager.

Nous ne prétendons pas à l'exhaustivité.

Si vous souhaitez faire  une visite guidée  de la rue de Belleville à partir du métro je vous invite et pour éviter la redondance  à consulter les livres de promenades très bien conçus et cités à la fin dans la bibliographie , liste non exhaustive mais toutefois conseillée ou les différentes associations qui ont vocation de vous faire découvrir les différents quartiers de Paris. Vous trouverez, par ailleurs,  aisément grands nombre
de sites internet et de blogs sur Belleville.

Histoire
Allez voir pour le complément à  notre chronique du Village de Belleville

La rue de Belleville s'est appelée tour à tour Chemin de Paris à Poitronville,
 Grand chemin du Roy et Rue de Paris !

On ne sait toujours pas précisément  si le patronyme de Belleville vient  d'une déformation de Bellevue, de  Beauvoir ou de Marguerite de Belleville, fille de Charles VI à qui fut donné un domaine à Bagnolet qui s'étendait jusqu'à Poitronville.

En 1860, à l'annexion du village de Belleville à Paris, le XIX et Le XXème arrondissement ont été volontairement séparés car le gouvernement  de l'époque y trouvait une population par tradition trop frondeuse. Mais à l'heure actuelle, dans la pratique quotidienne, rien a changé,  l'on passe d'un arrondissement à l'autre sans grande difficulté aucune,
 ne serait-ce déjà que pour y faire nos courses ! 
Et pour preuve à voir l'association des commerçants de la rue de Belleville, qui a réuni les commerçants des deux arrondissements, association extrêmement dynamique et  qui dit -on  serait la plus importante de Paris ! Pour en savoir plus, il suffit d'aller sur leur site internet enrichi de nombreuses  ressources www. Belleville-village.com
ou d'aller les rencontrer à la boutique «  La Source » 9 rue Lassus.

La balade découverte du temps jadis au temps présent
débute au Métro Belleville
et démarre paradoxalement par des odeurs et des saveurs 
venues d'Asie!
Donc
Si vous souhaitez découvrir en visite guidée le quartier Asiatique et Chinois qui s'étend à présent jusque dans notre quartier, les commerces qui s'y trouvent , comprendre les idéogrammes tracés sur les devantures des boutique et prendre des cours de chinois , de calligraphie ou de cuisine je vous conseille vivement , l'association  de Donatien Schramm de
 Paris sur Chine
45 rue des Tourtilles 75020 ou de visiter le site : Paris -sur -chine.com

Plus bas dans la rue qui se trouve derrière le bâtiment de la CFDT, la librairie du Centenaire. 
L'ancien directeur a été le premier distributeur de livres chinois et asiatique de France.


Ce qui saute tout d'abord aux yeux, c'est cette magnifique perspective.
Une rue particulièrement en pente et très longue. Bordée de petits immeubles, sans doute à caractère très modeste mais au demeurant restant à dimension humaine.

Après  l'évocation du passé, de tous ces petits métiers et commerces disparus
nous sommes témoin de l'implantation  de la diversité de nouvelles  activités.

N°51, très belle porte sculptée en bois et l'enseigne d'un très ancien marchand de cuir
« les établissements Noury. »


de  l'autre coté sur un passage d'un trottoir en hauteur très curieux et très étroit
s'étendant entre les N° 74 à 68;
 les marches sur lesquelles la chanteuse, Édith Piaf, en 1915,  a été tout bébé trouvée.

Au N° 58 une herboristerie chinoise.

 Au  n° 60, l'épicerie orientale  le Bazar du Caire, installée auparavant durant 23 ans de l'autre coté et un peu plus bas dans une minuscule boutique.
 Véritable cave d'Ali baba qui nous émerveille et nous régale  avec ses trésors d'odeurs, d'épices, de  condiments  et produits alimentaires venus d'orient .

Au n° 60 la librairie spécialisé en architecture et urbanisme » le genre Urbain »

Au 83 rue de Belleville une des façades les plus anciennes de la rue,   se trouve en arrière cour, dans une  succession de bâtiments,  l’ancien atelier du Bottier Maurice Arnoult nommé, Juste des Nations, pour avoir sauvé des Juifs de la déportation, pendant la guerre de 40/45. Mort  au mois d'avril 2010 à près  de 102 ans et après avoir passé + de 75 ans dans cet atelier, emportant avec lui la mémoire de Belleville et la mémoire des artisans bottiers et « petits métiers » associés, qui ont tant marqué cette rue et tout le quartier.
LIENS: le livre sur Maurice par Michel Bloit, mon article résumant sa vie  et mon article en ligne ou ceux des autres sur le site quartiers libres de la ville des gens, les très beaux sites  et blogs  de l'association » L'Atelier de Maurice » qui a pris la relève de son atelier !
www.maurice – arnoult . Fr;  le site « L'Atelier de Maurice »; maurice Arnoult blogspot



A l'angle de la rue Rébéval face à la rue Piat qui conduit au Parc de Belleville
existe depuis très longtemps un café. C'est dans l'ancien café « Tafanel »   vers 1924,  en son arrière salle, que le bottier Maurice Arnoult à appris à lire, à écrire, à compter, à être initié à la  médecine et à là  philosophie !


Nous ne pouvons  nous empêcher de vous proposer un petit détour
pour  la découverte de la rue Rébéval
Car c'est une rue extrêmement pittoresque et pleine de  ressources !
Nous pouvons voir sur la gauche  un caviste, en face, au n° 93, une des plus anciennes maisons de Belleville.. En vis à vis des groupements d’immeubles  avec terrasses qui demeurent à mon sens  comme faisant partie  des plus belles réalisations
 architecturale du quartier.
Au N°84 existait en 1995 une excellent librairie mais elle a disparue.

N° 78, ce Très beau corps de bâtiment en brique orange a tour à tour été  occupé par la fabrique des jeux Mécano puis  par l'école d'architecture.
L'école se trouve actuellement au n° 60 Bd de la Villette dans  l'ancien lycée Diderot   magnifiquement  réhabilité.

Revenons à la rue de Belleville

Songez à vous arrêter au niveau du métro Pyrénées pour admirer la vue du haut de la rue,   de jour comme de nuit ainsi qu'au levé du soleil ou en son couché, sous la pluie ou sous la neige, surprise jubilatoire assurée !


Au N° 88 le vestige de l'emplacement du  mur de la ferme de Savies 

A l'angle de la rue des Pyrénées, N° 94, la cour de la Métairie, authentique cour de  l'emplacement de la ferme. C'est également une
très belle  réhabilitation architecturale !

Espace qui à toujours été extrêmement animé de par l'implantation de
ses multiples et variées activités
Elle abrita l'usine Continsouza qui fabriquait des appareils pour Pathé et employait plus de 1000 ouvriers. L'usine fut d'abord rue des Envierges mais elle s'étendit et finit par atteindre la cour en 1915. Dés lors l'entrée de l'usine se faisait par la rue de Belleville.
L'usine ferma en 1948 et ses installations furent partagées entre le tout nouveau centre mécanographique des impôts et d'autres industries telles les chaussures Berthelot.

Juste à coté,  rue des Pyrénées,  au très beau  Café restaurant le Mistral dit le Petit Bougnat, nous pouvons voir en son arrière salle, des peintures murales datant des années 70 et reproduisant des vues des coteaux de Belleville, une reproduction de la première chapelle de ST Jean Baptiste de Belleville datant du XVI ème siècle. Cet ancien café  est tenu de père en fils, depuis 1956. Le patron fait  pousser des vignes sur la terrasse  du fond et produit un vin de qualité issu de ses propres vignes qu'il possède dans l'Aveyron ! « Le Aoc Estaing, » que nous vous invitons vivement à aller déguster. Tout comme le faisait, à toutes les époques, les parisiens qui montaient au  village de Belleville pour faire la fête et boire un vin issu des vignes du plateau de Belleville
Et pour l'atmosphère très sympathique fleurant bien le passé du village !

En remontant la rue de Belleville sur la gauche à l'angle de la rue Clavel,
 un bâtiment ancien très sobre et joliment réhabilité.

 Puis la petite librairie papèterie  du « Presse Papier » qui organise depuis + de 32 ans des rencontres-signatures avec des auteurs. La liste des personnalités prestigieuses
qui se sont déplacées pour rencontrer les  lecteurs et admirateurs
de notre quartier est impressionnante !

Au 105 plusieurs arrières cours pavillonnaires, fleuries  avec une fontaine décorée, mais malheureusement pour nous elle est depuis quelque années clôturée de la rue.


A l'angle de la rue Melingue existe, toujours, sur le bâtiment qui était l'emplacement du bureau de l'ancien funiculaire de Belleville jusqu’à la construction du métro entre 1920 et 1935,   le blason en faïence  de la Ville de Paris.

A l'angle de la rue de la Villette, il y avait voilà longtemps une croix en fer
encadrée de deux ormes: La croix – Halé
Et c'est sans doute pour cette raison que la portion de la rue de la Villette à la rue Fessart s'appelait, jusqu'au XIXème siècle rue Halé et aussi en raison de la présence du moulin du nom de Halé qui était situé approximativement au niveau de l'entrée des Buttes Chaumont par  la porte  Botzaris

En face au N° 117, le très bel ensemble d'immeubles de la fondation Rothschild, construit en 1908 : pour améliorer les conditions d'habitation des travailleurs.
A l'origine les terrains étaient réservés pour une gare souterraine de la petite ceinture qui passe en cet endroit. L’idée fut abandonnée du fait de la difficulté de réalisation  du temps des trains à vapeur.
Puis et toujours en remontant sur la gauche il y a plusieurs immeubles avec cours verdoyantes,

En face un très joli café d'époque

Arrêtons nous pour regarder l'ensemble de jolies petites maisons basses aux volets verts, Des  N° 118 à 122,  dans lequel est installée la boulangerie, qui existerait depuis 1880.
En haut se sa façade l'on peut voir le crocher qui servait à monter farine et le grain au grenier! Excellente boulangerie pâtisserie et avis aux amateurs de pain aux céréales le leur est particulièrement savoureux !

Nous signalons au passage une jolie maison basse au n 126

Juste avant le Monoprix  dans le bâtiment en brique rouge, La très ancienne  crèche familiale de la Fondation, Nelly Martyl. Du nom d'une grande Cantatrice qui pendant la guerre de 14/18, chantait pour les soldats partis au front.

IL y a 30 ans  à la place de la banque qui fait angle avec la rue du Jourdain,
 il y avait un très joli café à l'ancienne extrêmement fréquenté !

N° Autour des N ° 138 et 136 en empiétant sur  la rue du Jourdan , il y avait en cet emplacement le  fameux et très prisé cabaret de l'ile d'Amour, bordé par un faussé. Puis en 1847 se fut  l'implantation de la  mairie du XXème arrondissement. La première mairie du XIX ème arrondissement édifiée en 1790 se trouvait
à l'angle de la rue de Belleville avec la rue de Palestine
 Voir l'Article de Maxime Braquet sur le site de la ville des gens.
http://www.des-gens.net/Qu-y-avait-il-dans-le-trou-du-136 

Depuis 1887 existe, au n° 10 de la rue du Jourdain la Pâtisserie de l'Église et actuellement 3 générations y travaillent  ensemble !
 Au 140 rue de Belleville la boulangerie bien connue  pour sa baguette « la 140 »et ses variétés de pains. Nous ne pouvons que vous invitez à aller gouter leurs spécialités et à visiter le site internet et  histoire de vous mettre l'eau à la bouche 
www.demoncy-vegne.com
Installés tout deux dans de Très beaux bâtiments possédants de grandes cours fleuries.
Celle du 140 étant particulièrement étonnante !

De gauche à droite, toujours en remontant, la rue est truffée d'arrières cours avec d'anciens ateliers réhabilités en maisons d'habitation. Le plus spectaculaire demeurant en son n° 151 la cité du  palais Royal de Belleville.

 A la place du supermarché Franprix  au n°  146, était le cinéma Féeric. Les anciens s'en souviennent et avec grande nostalgie. C'était leur cinéma de quartier !

De ce coté de la rue et un peu plus haut, il existe une aire pavillonnaire qui
appartient à la Préfecture de Police.

N° 160, Le dispensaire PMI et la crèche, centre  médicosociale-social,  fondé par Robert Garric et reconnu d'utilité publique en 1922.
 Robert Garric est le fondateur des équipes des œuvres sociales, dont les missions principales étaient la transmission  des savoirs et  des connaissances en direction du peuple Bellevillois et par les étudiants. Il a légué cette fondation en hommage au peuple de Belleville  et c'est en ce lieu où il habitait qu'il a écrit les « Scènes de la vie populaire » dont les scènes se passent dans notre quartier, publié en 1924.
Présence d'un parc à l'intérieur que l’on n’a pas pu visiter car le centre est actuellement fermé pour  travaux.
Pour en savoir plus nous vous conseillons l'excellent article d’Anne Stein dans Quartiers Libres sur le site de la Ville des Gens.

Avant en même place mais s'étendant jusqu'au n° 174, il y avait
le couvent des moines de Picpus acheté en 1673. L'entrée se faisait par la rue Levert et les jardins descendaient jusqu'à la rue des Rigoles. Il s'y trouvait  une fontaine d'eau provenant d'une dérivation des eaux de Belleville. Le couvent fut fermé à la révolution pour se transformer en prison puis fut vendu.

Au n° 169  le regard St louis. Regard classé mais enterré !

Guy Marchand, le chanteur, comédien est né au  n°162 rue de Belleville !

Un peu plus haut sur la gauche au niveau du n°213 de la rue de Belleville, au début de la rue Compans, faites un crochet pour aller voir notre Regard de la Lanterne
 installé dans un petit jardin et contrastant fortement avec les tours de la Place des Fêtes !
Ce regard est le témoin ne notre ancienne vocation à alimenter Paris en eau potable.
Et ce Grâce aux moines qui possédaient au XII siècle quantité de biens, de terres et de vignes à Savies (village de Belleville). Captage des eaux  de ruissèlement, favorisé par  la composition d'un sol sablonneux et argileux ainsi que par  ses pentes drainantes.

Notre joli regard a été Construit au XVI, afin de surveiller le niveau, la qualité de l'eau ou le vol des eaux captées dans le bassin  de récupération.

 L'eau ensuite s'écoulant dans un aqueduc, en descendant les hauteurs du village de Belleville,  jusque dans Paris pour y alimenter les fontaines.

En ce qui concerne et uniquement notre quartier, c'est le seul regard visible qu'il nous reste. Ceux des  rues de Belleville, de la rue des Fêtes, de la rue des Solitaires ont été enterrés ou emmurés et celui de la rue de Palestine est dans la cour
d'un immeuble fermé à la rue.

Pour tout savoir sur notre histoire d'eau
Lire les chroniques de Bernard Fournier «  une longue histoire d'eau »
dans la revue de l'association Histoire  du 3è arrondissement de Paris
Histoire de Belleville par Emmanuel Jacomin, aux éditions Henry Veyrier,
Si beaucoup de livres et de sites internet en parle et même avec des diffusions de vidéos,
nous vous conseillons de profiter des journées du patrimoine afin
de bénéficier d'une visite guidée
C'est un  endroit superbe et envoutant!
Une association s'occupe même de le protéger.


Pour ceux qui souhaitent  continuer la balade  découverte de la rue de Belleville
Jusqu’à la porte des Lilas, bien qu'elle n'appartienne plus à notre quartier à proprement parlé, tout comme vous allez le voir, elle complète bien et bellement  l'histoire de notre village de Belleville!

Car

au N° 242, ici en 1771, siégeait la société des amis de la constitution.

Et surtout, au niveau du n°244 de la rue de Belleville prenons  la rue du Télégraphe.
Au n° 40, nous retrouvons le troisième et dernier cimetière de Belleville !
Notre cimetière ayant successivement été déplacé autour des nouvelles implantations de l'église St Jean Baptiste de Belleville dont la première chapelle datait du   le XVIème siècle. Il a déménagé dans le XXème arrondissement d'abord parce qu'il était trop petit pour accueillir plus de tombes qu'il pouvait en contenir mais aussi à cause d'une loi interdisant les inhumations dans les villages.
Le cimetière de Belleville, a été ouvert en1809, sur l'emplacement d'une partie du parc  de l'ancien château de Ménilmontant, propriété de Le Pelletier- de St Fargeau.
Si Beaucoup de personnalités y ont été enterrées, dont Gaumont, il n'en demeure qu'à l'heure actuelle en le visitant, une triste et âpre sensation
de cimetière abandonné vous envahi quand bien même il est proprement entretenu...
Une grande obélisque rend hommage aux 52 gardes républicains, qui y sont enterrés,
pris en otages et fusillés au n° 85 de la rue Haxo, à la Villa des Otages, en
1871 par les fédérés du 2ème secteur de la commune qui était établi.
Si vous souhaitez connaitre les noms des personnalités qui y sont enterrées,
vous pouvez consulter les sites officiels des cimetières Parisiens.

C'est aussi au niveau de l'entrée du cimetière que Chapp en 1793, choisi l'endroit le plus élevé des hauteurs de notre village (128 m d'altitude),
 pour expérimenter son télégraphe !
Si vous souhaitez tout savoir sur Chapp et l'histoire du  télégraphe
vous trouverez toutes les informations dans des monographies ou en ligne sur internet

Revenons sur la rue de Belleville, 
C'est entre les  n° 296  à 308, qu'au XIX ème siècle, sur ENCORE une partie de l'ancien parc du château de Ménilmontant, qu'exista le fameux  et très prisé
« Lac de St Fargeau »
Haut lieu d'amusement et particulièrement fréquenté pour ses bals et concerts, son restaurant et ses balades en barque!

Poursuivons plus loin
Bd Serrurier nous vous invitons à visiter et découvrir les différentes richesses et ressources des Archives de Paris

Porte des Lilas un grand cinéma et une très grande jardinerie

Ainsi s'achève notre ballade de la rue de Belleville du temps jadis et du temps présent

Si vous avez des informations ou des photos, archives à nous communiquer autour des lieux et des personnalités évoqués, nous vous remercions infiniment de nous contacter

Pour en savoir plus

http//plateauhassard.blogspot.com/2013/la-semaine-sanglante-de-la-commune-de.httml)
Vous trouverez beaucoup d'articles en ligne, de livres sur la Commune.
Nous privilégions ceux de l'association des Amis de la Commune et ceux de
l'association d'histoire du XXème arrondissement
Et surtout la librairie éditrice spécialisée  sur la commune « DITTMAR »,
située rue des Pyrénées, juste à coté des escaliers qui descendent 
au commencement de la rue Levert.


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